Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Députés sous influences

12/11/2010 14:59

Députés sous influences


  • Députés sous influences
  • de Hélène Constanty et Vincent Nouzille
  • Broché: 500 pages
  • Editeur : Fayard (4 octobre 2006)
  •  
  • ISBN-10: 2213630089
  • ISBN-13: 978-2213630083
  • Présentation de l'éditeur

    Que font nos 577 députés en dehors des séances de questions d'actualité, théâtre télévisé des joutes politiques ? Sont-ils soumis aux pressions des lobbies ? Sous quelle forme ? Qui y est le plus sensible, qui y résiste ? Au fond, pour qui roulent-ils vraiment ? Pour la première fois, une enquête dévoile la face cachée de l'Assemblée nationale et l'influence grandissante des groupes d'intérêts sur les élus. L'analyse des données officielles et de multiples interviews ont permis d'évaluer l'activité des députés... ou leur absentéisme. Découvrez les sept familles d'élus, des plus influents aux plus influençables : les incontournables " VIP ", les " laboureurs " de circonscription, les " experts " reconnus, les " porte-voix ", les " multicartes "... Officiellement, les groupes de pression n'ont pas droit de cité à l'Assemblée nationale, mais les auteurs révèlent leur omniprésence. Laboratoires pharmaceutiques, industriels de l'armement et de l'agroalimentaire, filière nucléaire, chefs d'entreprise, médecins, viticulteurs, cafetiers, chasseurs : tous ont leurs défenseurs au Palais-Bourbon ! Le livre met au jour les méthodes controversées utilisées par certains lobbyistes pour faire passer leurs messages : trafic de badges d'accès, recrutement d'assistants parlementaires, interventions payantes lors de colloques, rédaction
    d'amendements " prêts à l'emploi ", " groupes d'études " téléguidés, création de " Clubs " thématiques, organisation de voyages et de missions parlementaires à l'étranger... Soumis aux sollicitations insistantes des groupes d'intérêts, tant locaux que nationaux, nombre de députés résistent. Mais d'autres se laissent influencer. Devenant les relais de revendications catégorielles, ils interviennent en coulisses en faveur de ceux qui le leur demandent, votent certains textes et en enterrent d'autres. Plus rien n'échappe à ces jeux de pouvoirs occultes. Les lobbies sont à la manœuvre et certains députés dépassent parfois la ligne blanche... Il est grand temps d'ouvrir les yeux sur ces pratiques, pour mieux les encadrer.
     

    Biographie de l'auteur

    Hélène Constanty est journaliste indépendante. Elle a écrit plusieurs livres, dont Internet, les nouveaux maîtres de la planète (Seuil, 2000), Le Lobby de la gâchette (Seuil, 2002), Warren Buffett, l'investisseur intelligent (Eyrolles, 2005).
    Vincent Nouzille est journaliste indépendant. Il a notamment publié La Traque fiscale (Albin Michel, 2000), Les Parrains corses, avec Jacques Follorou (Fayard, 2004) et Les Empoisonneurs (Fayard, 2005).





  • Le G20 : le grand théâtre

    12/11/2010 14:46

    Le G20 : le grand théâtre


    Bossuet écrivait : "Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes". Cette phrase s'applique parfaitement à la réunion du G20 à Séoul. Les chefs d'Etat disent vouloir supprimer les déséquilibres monétaires, mais au même moment ils défendent bec et ongles la loi de la jungle commerciale qui en est la cause.
    Comment croire que l'on puisse mettre en concurrence l'ouvrier de Limoges avec l'esclave chinois au salaire vingt fois inférieur, le paysan du Bénin avec l'agriculteur Australien. La seule solution bien sûr est de rétablir des droits de douane, sorte d'écluses sociale et environnementale, entre les grandes zones commerciales du monde. Mais cela nos chefs d'Etat n'en veulent à aucun prix. Ils me font penser à des alcooliques qui commenceraient leur cure de désintoxication dans une boîte de nuit.
    Mais qui croit encore au G20 à part le président français ? Les USA et la Chine nous font un bras d'honneur permanent en laissant filer leur monnaie pour protéger leur économie.
    La seule façon de les contraindre à changer c'est de faire comme eux. Alors là oui, une négociation pourra s'engager.
    Mais l'Union Européenne, prisonnière de son mondialisme anarchique, a complètement oublié l'intérêt des peuples.
    Voilà pourquoi la sortie de l'euro est la seule solution pour la France. La seule solution pour mettre fin à l'hémorragie des délocalisations. La seule solution pour relancer les exportations, l'investissement et donc l'emploi.
    Le président Sarkozy, si fier d'être le président du G20 - où il ne peut que parler dans le vide - ferait mieux de se mettre dans les habits du président de la France, et d'oser prendre d'urgence les décisions pour défendre l'intérêt supérieur de la nation.
    NDA
    http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Le-G20-%3A-le-grand-th%C3%A9%C3%A2tre







    Il y a 40 ans à Colombey, l’hommage du peuple de France

    12/11/2010 09:23

    Il y a 40 ans à Colombey, l’hommage du peuple de France


    A Colombey, l’hommage du peuple de France.

     

    cdg1  

     

    « Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’inspire aussi bien que la raison. Ce qu’il y a en moi, d’affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée imminente et exceptionnelle. J’ai, d’instinct, l’impression que la Providence l’a créée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires.

    S’il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j’en éprouve la sensation d’une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la patrie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n’est réellement elle-même qu’au premier rang ; que, seules, de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays, tel qu’il est, parmi les autres, tels qu’ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans la grandeur.. »

    • Charles de Gaulle,
      Mémoires de guerre (Plon, 1954).
       

     

    obsèques Charles de Gaulle

       

    cdg_tombe2

    cdg_obseques

    Lire aussi sur gaullisme.fr

    A Notre-Dame, les « grands » du monde entier
     
     
    AFP -  10 novembre 1970 – 9h42 Le général de Gaulle est mort lundi soir à son domicile à 19h30. Le général de Gaulle est. mort.
     La France est veuve. En 1940, le général de Gaulle a sauvé l’honneur, il nous a conduit à la libération et à la victoire. En 1958, il nous a gagné la guerre civile. Il a donné à la France ses institutions, sa place dans le monde. En cette heure de deuil pour la patrie, inclinons-nous devant la douleur de Madame de Gaulle, de ses enfants et petits-enfants. Mesurons les devoirs que nous impose la reconnaissance. Promettons à la France de n’être pas indignes des leçons qui nous ont été dispensées, et que, dans l’âme nationale, de Gaulle vive éternellement. (G. Pompidou)
     

    560123_1 

     12 novembre 1970 – Pour l’accompagner à sa dernière demeure, le général de Gaulle avait souhaité la présence à Colombey-les-Deux-Eglises « des hommes et des femmes de France et d’autres pays du monde ». Vœu largement exaucé. Rues bloquées arbres et toits pris d’assaut : lorsque l’engin blindé portant le cercueil du plus illustre des Français franchi la grille de la propriété des de Gaulle, ce sont plus de 80000 personnes qui se sont massées le long des quelques centaines de mètres de la petite route qui conduit de la Boisserie à l’église, ou agglutinées autour du cimetière. Au passage du cortège, hommes et femmes, jeunes et vieux, cèdent à l’émotion. Sanglots non retenus ou larmes silencieuses, saluts rigides ou maladroits, deux doigts levés en « V » de la victoire… L’hommage de cette multitude venue de tous les coins de France et de l’étranger, de tous les horizons sociaux, est d’une simplicité et d’une sincérité extraor-dinaires.A 15 heures précises, le half-track débouche devant l’église, suivi des voitures officielles où ont pris place Mme de Gaulle, la famille du Général et ses proches collaborateurs. En présence d’une haie d’honneur composée de détachements des trois armes, ainsi que de gendarmes et de saint-cyriens en grande tenue, c’est dans l’impressionnant silence d’une foule toute à son recueillement que le cercueil, chargé sur les épaules de douze jeunes de Colombey pénètre, suivi de la famille du disparu, dans la petite église où n’ont pu prendre place que 700 fidèles. 

    Une émotion indicible

     

    C’est grâce à des haut-parleurs disséminés dans le village que tous les autres vont suivre le déroulement de l’office concélébré par l’évêque de Langres, le curé de Colombey et un neveu du Général. Selon la volonté du défunt, c’est une messe chantée, sans représentant officiel, sans homélie ni oraison funèbre, mais l’émotion de l’assistance est indicible, notamment lorsque Mgr Atton demande quelques instants de silence. Pendant de longues minutes, on n’entendra pas un souffle, pas un sanglot. Mais on verra couler des larmes sur bien des visages.

    Peu après 16h00, toujours porté par les jeunes, le cercueil franchit le porche du petit cimetière qui jouxte l’église. Il est aspergé d’eau bénite par Mme de Gaulle et la famille du Général, qui regagnent aussitôt la Boisserie, puis descendu dans le caveau par six conseillés municipaux de Colombey.

    Commence alors le long défilé de ceux qui avaient suivi ou aimé de Gaulle. D’abord ses 350 compagnons de la Libération. Malraux en tête : Couve de Murville, Peyrefitte, Clostermann, Rémy et tous les autres… Et aussi Mme Kerloch, maire de l’Île de Sein, « ce quart de la France ». Puis c’est le torrent de la foule anonyme qui va continuer à se déverser, bien après la tombée de la nuit, sur le petit cimetière illuminé et submergé de fleurs. Pour se recueillir ou prier un court instant sur la tombe de marbre blanc où l’on peut lire deux inscriptions juxtaposées. A gauche : Anne de Gaulle 1928-1948. A droite : Charles de Gaulle 1890 – 1970.

     
     

     

     

    Adieu mon Général !

    http://www.gaullisme.fr/?p=2645






    Nicolas Sarkozy, ou l’imposture gaulliste

    12/11/2010 09:16

    Nicolas Sarkozy, ou l’imposture gaulliste


    Dans l’esprit de certains, Nicolas Sarkozy serait le lointain descendant du Général de Gaulle. Mais les mutations du gaullisme en pompidolisme puis en chiraquisme avant de d’aboutir au sarkozysme ont vidé de toute trace de gaullisme l’UMP. L’abandon de la croix de Lorraine n’était pas pour rien…

    Une différence institutionnelle

    La forme est ce qui semble évident, mais dans le fond, la différence n’est pas moins grande. Le Général de Gaulle a construit des institutions avec un équilibre où, si le Président de la République est la pierre angulaire du système, le Premier Ministre avait un rôle. Nicolas Sarkozy est revenu à une lecture très giscardienne de la Constitution où le Président est tout et le Premier Ministre n’est plus qu’un collaborateur, démonétisant l’ensemble de son gouvernement.

    Le Président était un sage, un arbitre qui représentait tous les Français, économe de sa parole mais capable d’intervenir pour guider le pays en toute circonstance. Nicolas Sarkozy est totalement passé à côté de la part de représentation de la fonction, versant dans la vulgarité et le trivial. Alors qu’il devrait incarner la France, il jouit de sa position. Il n’est pas devenu Président pour servir les Français ou des convictions, mais pour s’accomplir. D’où sans doute le grand écart en matière de style.

    Une différence de fond

    Mais la différence entre les deux hommes est aussi patente sur le fond. Alors que le Général de Gaulle refusait tout affaiblissement de la souveraineté Française, retirant notre pays du commandement militaire intégré de l’OTAN, ou pratiquant la politique de la chaise vide pour obtenir un droit de veto sur les décisions européennes, Nicolas Sarkozy a réintégré l’OTAN. Il a signé un TCE bis malgré le « non » de 2005 et il est prêt aujourd’hui à mettre le budget national sous tutelle européenne.

    Trop préoccupé par son destin personnel plutôt que guidé par l’intérêt de la France et des Français, il est incapable de donner une direction claire à notre pays sur toutes les grandes questions. Il ne sait qu’alterner les postures calibrées pour plaire dans l’opinion, oubliant aussitôt d’essayer de vraiment faire les choses et n’hésitant pas à se contredire s’il pense que cela peut le servir. Beaucoup vient du fait que son moteur interne est son ambition, pas des idées qui le dépasseraient.

    Nicolas Sarkozy, c’est aussi une politique économique aussi injuste qu’inefficace (d’où le détricotage du « paquet fiscal »). C’est un manque de considération de l’argent public (déjà, comme ministre du budget, il avait supervisé deux des plus gros déficits de notre histoire). Sa politique n’est qu’une succession de postures qui ne résolvent rien (sécurité, retraites), où, la communication vient au détriment des politiques. La politique de la France se fait à la corbeille et chez l’IFOP…

    Peut-on imaginer un homme politique plus éloigné du Général de Gaulle que lui ? Pour cette raison, il m’est toujours particulièrement insupportable de voir le président essayer de se vêtir d’un costume beaucoup trop grand pour lui de manière à en tirer un quelconque profit. Les Français ne sont pas stupides… 

    Laurent Pinsolle






    Charles de Gaulle, idéal politique

    10/11/2010 18:37

    Charles de Gaulle, idéal politique


    Hier, j’ai eu la chance de me recueillir sur la tombe du Général ainsi que de visiter le Mémorial et la Boisserie. L’occasion de revenir sur ce que nous a légué le plus grand homme de notre histoire.
    Une éthique
    C’est un des points qui ressort le plus facilement, surtout par comparaison avec ses successeurs. Le Général de Gaulle appliquait une rigueur toute militaire dans son rapport à l’argent. Il tenait à payer lui-même les factures d’électricité de ces appartements de l’Elysée, ou les repas donnés à titre privé. Ce sont ces mêmes principes qui lui ont fait renoncés à sa retraite de militaire comme à celle de président de la République pour ne vivre que de ses droits d’auteur.
    Le Général de Gaulle était également un homme de principes du point de vue des idées. C’est ainsi que son respect profond du vote des Français excluait toute possibilité de rester au pouvoir en cas de référendum perdu. Il n’a fait aucun compromis avec la défense de la France, fût-ce au risque de sa vie ou de celle de ses proches pendant la guerre, et fut un ardent défenseur de sa souveraineté. Fruit de son héritage de chrétien social, il faisait de l’homme « la seule querelle qui vaille ».
    Enfin, et c’est un aspect qui a été un peu oublié du fait des caricatures, le Général de Gaulle était tout sauf un nationaliste recroquevillé sur son pré carré. Il était profondément ouvert aux autres pays, et respectueux de leurs cultures, au point de faire l’effort de toujours prononcer des discours dans la langue du pays d’accueil. Il a porté au monde un message finalement très universaliste de tolérance, d’ouverture et de respect de l’identité et de la souveraineté des pays.
    Une volonté
    En ces temps où l’on répète trop souvent que rien n’est possible, il est fascinant de se pencher sur le parcours du Général de Gaulle, qui démontre que la volonté d’un homme, quand elle est inflexible et juste, peut littéralement déplacer des montagnes. Voici un sous-secrétaire d’Etat inconnu qui a réussi en quelques mois à incarner la France et à construire un gouvernement à partir de sa seule volonté. C’est lui qui a mis la France à la table des vainqueurs en 1945 malgré la déroute de 1940.
    Et s’il a eu des échecs, quel parcours ! Voici un homme qui est parvenu à faire partager aux Français sa propre vision des Institutions, cas assez unique dans l’humanité, quitte à passer outre l’opposition de tous les autres partis, comme en 1962. Il a réussi à terminer la guerre d’Algérie dans un sens contraire à ce que certains l’imaginaient à son arrivée au pouvoir. Il a imposé à nos partenaires européens le compromis de Luxembourg. Bref, il a démontré tout ce que peut accomplir un homme politique.
    Des idées
    Enfin, le Général de Gaulle nous a légué de grands principes qui peuvent encore guider l’action politique aujourd’hui. La première d’entre elle est sans doute sa conception de la démocratie qu’il a su graver dans le marbre de notre Cinquième République. Bien loin des accusations mesquines de coup d’état (quel dictateur a remporté deux suffrages populaires et deux votes des grands élus en huit mois ?), il a créé des institutions qui permettent à la volonté des Français de s’exprimer pleinement.
    Le deuxième grand principe est l’aspect fondamental de la souveraineté nationale. Lui avait bien compris que la nation est le moyen pour l’homme d’agir sur son destin et qu’il ne faut faire aucun compromis avec la souveraineté nationale, surtout quand on est faible, ce qui le poussa à une attitude intransigeante à la tête de la France Libre. Cette partie de son message prend une actualité brûlante avec les coups de canif régulier portés à la souveraineté des nations en Europe.
    Enfin, le Général de Gaulle était un progressiste, dans le sens où il croyait au progrès économique, produit de l’effort de la collectivité nationale. Mais si ce progrès devait reposer sur l’économie de marché, il était trop conscient des faiblesses du capitalisme (instabilité, injustices), pour ne pas comprendre que l’Etat devait jouer un rôle fort pour en éviter les excès. Pour lui, le progrès devait être partagé par tous, d’où son attachement à la participation, même s’il ne fut pas pleinement couronné de succès.
    On peut ne pas être d’accord avec ses idées ou sa vision des choses, mais le Général de Gaulle aura au moins démontré que la politique peut être faite avec une éthique et de la volonté au service de grandes idées, des qualités qui semblent trop souvent disparues aujourd’hui.
    Laurent Pinsolle
     





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